Une entreprise productrice d’extraits antioxydants d’origine naturelle souhaite évaluer l’efficacité de deux de ses nouveaux produits : extrait A et extrait B. Pour cela, elle décide d’évaluer leur activité antiradicalaire à l’aide du test DPPH° en établissant, pour chacun des extraits, les cinétiques de réaction pour différentes concentrations. Elle détermine, à partir des courbes obtenues, le pourcentage de DPPH° résiduel au plateau. Les valeurs obtenues sont reportées dans le tableau suivant :

Concentration en extrait antioxydant (g/L) EXTRAIT A : DPPH° résiduel au plateau (%) EXTRAIT B : DPPH° résiduel au plateau (%)
0 100 100
0,25 74,6 84,1
0,5 53,2 72,3
1 18,5 48,6
2,5 8,7 19,2
10 7,1 5,2
20 3,9 4,1
40 3,8 4,0

Quizz : qu’avez-vous retenu ?


La valeur de CE50 de l’extrait A est plus élevée que celle de l’extrait B
La valeur de CE50 de l’extrait A est
Les résultats obtenus à l’aide du test DPPH° sont directement transposables aux produits alimentaires
L’extrait A contient 50% (p/p) de molécules antioxydantes et l’extrait B uniquement 10%. On peut donc considérer que les molécules antioxydantes de l’extrait B sont globalement plus efficaces que celles de l’extrait A
L’extrait B étant deux fois moins cher que l’extrait A, il serait préférable de le choisir pour stabiliser les produits alimentaires
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